6.1.16

D'or pur et de sable

Ce matin, grâce à vous, je me suis rappelée qu'il y a longtemps que je n'étais pas allée à mon travail en passant par la rivière. *

Et que les matins d'hiver, pour peu qu'entre les nuages, un rayon flirte avec le sable à marée basse, cela pouvait enchanter la journée entière.


*Pourquoi depuis longtemps? Parce que deux écoles s'y donnent rendez vous et qu'à cette heure, ça fait un embouteillage d'au moins ... voyons... 20 voitures!
Oui, oui, 20! **

** On est con, parfois, hein. Enfin, je me suis trouvée ben con.

2 commentaires:

Gilsoub a dit…

J'avoue que c'est ce qui me manque par chez moi, certain matin, la mer et les rayon de soleil dessus...

Sacrip'Anne a dit…

Du coup tu réveilles un souvenir de cet été : la réaction des locaux quand nous autres parisiens on s'engage sur un rond-point.

En termes de distances des autres voies aux abords du rond-point, pour nous, c'est comme si t'avais même pas mis le contact et que tu étais encore garée au pied de chez toi, pour le local du cru, c'est comme si on leur était passé au raz du pare-choc.

(Et le bout de route pour repartir à Quimper où, pendant de longues minutes, y avait personne devant, personne derrière, juste nous, le soleil et la jolie route)